KILLIAN PEIER,
À L’HEURE DU GRAND SAUT

Médaille d'or aux championnats suisses de saut à ski à Einsiedeln, l’ambassadeur Pierre DeRoche guette son heure sur une GrandCliff Chronographe Flyback. Questions de temps…

Vous rappelez-vous de la première fois où vous avez eu conscience de l’écoulement du temps ?

Dans le saut à ski, c’est la distance qu’on mesure. Mais l’idée est toujours d’essayer de rester le plus longtemps en l’air. Quand j’étais petit, je m’amusais à chronométrer les sauts. Dans les concours où on vole plus de 200 m certains sauteurs tenaient plus de sept secondes !

Quelles qualités partagez-vous avec les montres Pierre DeRoche ?

La précision, en premier lieu ! Lorsqu’on s’élance, on a une vitesse de 90 à 100 km/h. Ça laisse un laps de temps d’une seconde pour déclencher le mouvement le plus précis et régulier. La recherche de cette précision est très spécifique. Quand on regarde les détails, on analyse chaque saut en vidéo image par image. Ce n’est pas tout à fait du montage au microscope comme pour une montre, mais on ajuste notre mouvement…
En deuxième lieu, je dirais l’attention à l’esthétique. Une fois en l’air, le sauteur à ski doit avoir une esthétique irréprochable pour voler le plus longtemps possible.

Si vous pouviez arrêter le temps quand vous sautez, à quel moment presseriez-vous le bouton ?

Au moment où j’approche les 200 m parce que ça voudrait dire que je peux encore profiter de cet instant si rare en saut à ski. Dépasser cette limite arrive peut-être 10 à 20 fois par année pour les meilleurs athlètes de la coupe du monde...

Second fuseau horaire ? Indicateur de réserve de marche? Chronographe ? Fonction jour/nuit ou rendez-vous ? Si vous étiez une complication Pierre DeRoche ?

C’est difficile à dire. Je suis fasciné par ma GrandCliff, mais si je devais être moi-même une complication, alors je rêverais sûrement qu’on puisse transformer la fonction « flyback » en « fly forward » !

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